Enfin, quelques chapitres sur liseuse pour l'instant, parce que le rapport entier fait quand-même pas loin de 300MiB, que le chapitre 1 commence au-delà de la page 100 et parce que je ne suis pas devenu climatologue en l'espace de 10 ans.
Mais j'ai quand-même pris les observations sur l'atmosphère (2), le cycle carbone (6), les aérosols (7) et le "radiative forcing" (8, ce qui se rapproche le plus de la notion d'effet de serre), histoire de mieux comprendre les phénomènes contestés par les climato-sceptiques.
Je poursuis donc mes investigations à travers ce blog, parce que Facebook est juste catastrophique pour ça, quand une conversation commence à passer les 100 posts, dont la majorité demandent qu'on clique sur "afficher plus".
A tout de suite.
Et pour que ce soit clair pour tout le monde, non, je ne suis pas devenu climatologue tout à coup. J'ai juste ma formation 'sciences fortes', mon bouquin sur la physique ondulatoire gagné aux demi-finales des olympiades de physiques et mon 20/20 à l'oral de physique en 1ere candi informatique il y a plus de 20 ans. ça ne pèse pas lourd, on est bien d'accord. Ah oui, et une brève introduction à la zététique.
Mais j'ai envie de comprendre. En particulier quand quelqu'un annonce que le réchauffement climatique est impossible pour une raison simple, alors la raison simple doit tenir la route et je creuserai le temps qu'il faudra pour comprendre comment elle peut être vraie (et que tout le GIEC l'ait loupée) ou pourquoi elle est fausse.
1 commentaire:
Bravo pour ta démarche !
Il faut beaucoup plus d'effort pour défendre une thèse que pour la condamner.
Dès la démonstration de la moindre anomalie et c'est toute la théorie qui vacille ! Une thèse est comme une citadelle attaquée de toute part.
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